Là, ou entendre parler Catalan fait le plus de plaisir, c'est à l'étranger.<br />
J'étais en Afrique, en pleine période d'attentats; quand, pendant mon travail, je sens une présence, puis une voix forte qui me dit: soc un catala de color ! Je lève la tête et vois un grand noir<br />
sympathique qui se présente, il venait de Perpignan où vivaient ses parents adoptifs.
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Super ! Nous avions à Banyuls aussi des réfugiés catalans de race noire. Ils faisaient partie de intégralité du village. On les traitait de négros et s'il s'en fichaient en rigolant. Ils étaient<br />
des frères.Nous vivions ensemble en en se racontant des bêtises raciales et nous mous tordions de rire. Blans ou noir, quelle importane!<br />
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Présentation
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Le blog de Albert CALLIS
:
Souvenirs d'enfance à Banyuls sur mer entre 1934 et 1954. Pensionnat au Lycée Arago de Perpignan