A droite la tour "Batlle"
Il y a un bon nombre de maisons déjà habitées. Par contre je suis stupéfait en voyant l'énorme cavité creusée dans la colline tout en haut. Je pense qu'il faut en ce lieu enfoncer les maisons pour que leur toit ne soit pas visible de la mer, condition nécessaire à l'obtention du PC. En bas le quartier de La Rode. On ne voit pas la Maison de retraite Paul Reig qui est derrière la colline du bas. A gauche on devine le haut de Castell Béar en blanc. La flêche est à peu près sur l'ancienne maison de Paul Gratacos.
C'est là où se trouvent les villas les plus belles. Une vue incroyable, du Cap Béar au Cap de la veille, que de la mer ! Partout ! C'était le lieu de résidence des riches, et surtout là où était le plus luxueux hôtel : Le MIRAMAR.
Il a changé deux fois de forme et maintenant il est devenu une Résidence. Je vous invite à voir comment a évolué le Miramar.
Belle villa !
L'évolution du chateau-hôtel-résidence.
Nous allions toujours sur la jetée quand nous étions jeunes et derrière le monument aux morts car il faisait bon se baigner sur les rochers et plonger de la jetée en un lieu précis où il y avait assez de "fond"
C'est là que nous plongions !
Voici le commentaire de Jean-Pierre Campadieu sur ce "trou" et son importance dans la mémoire collective Banyulencque. Je le mets dans le texte car ce que Jean-Pierre nous écrit vaut mieux qu'un simple commentaire :
Derrière le Monument aux Morts.
JUIN 2010
Petit clin d'oeil aux Catalans de Toulouse
Toulouse par Claude Nougaro
Qu'il est loin mon pays, qu'il est loin
Parfois au fond de moi se raniment
L'eau verte du canal du Midi
Et la brique rouge des Minimes
O mon païs, ô Toulouse, ô Toulouse
Je reprends l'avenue vers l'école
Mon cartable est bourré de coups de poing
Ici, si tu cognes, tu gagnes
Ici, même les mémés aiment la castagne
O mon païs, ô Toulouse
Un torrent de cailloux roule dans ton accent
Ta violence bouillonne jusque dans tes violettes
On se traite de con à peine qu'on se traite
Il y a de l'orage dans l'air et pourtant
L'église St-Sernin illumine le soir
D'une fleur de corail que le soleil arrose
C'est peut-être pour ça malgré ton rouge et noir
C'est peut-être pour ça qu'on te dit Ville Rose
Je revois ton pavé, ô ma cité gasconne
Ton trottoir éventré sur les tuyaux du gaz
Est-ce l'Espagne en toi qui pousse un peu sa corne
Ou serait-ce dans tes tripes une bulle de jazz ?
Voici le Capitole, j'y arrête mes pas
Les ténors enrhumés tremblaient sous leurs ventouses
J'entends encore l'écho de la voix de papa
C'était en ce temps-là mon seul chanteur de blues
Aujourd'hui, tes buildings grimpent haut
A Blagnac, tes avions sont plus beaux
Si l'un me ramène sur cette ville
Pourrai-je encore y revoir ma pincée de tuiles
O mon païs, ô Toulouse, ô Toulouse
Ô Ô Toulouse
Une exposition à la mairie :
Ce jeudi matin, pendant que vous êtiez au bureau ou sur le chantier, il y en a qui pêchent en douce sous Cap d'Oune !
Je sais, ce n'est pas juste !
Ce vendredi je suis allé jusqu'au bout de la jetée en passant par le port.
Les poissons frétillent dans l'eau.
Le canot de pêche est rentré.
Et le Patron nettoie ses filets. A gauche Armand Bosc en bleu avec Francis Sagrera en rouge.
Et j'ai pu admirer une belle "Catalane"
7 juin, lundi, on met en place les douches sur la plage. Au fond il y a déjà la cabine de surveillance des Maîtres Nageurs
Et ce matin, au large, passait un beau voilier. Temps d'été, il faut vite revenir !
En me promenant et en levant les yeux je vois de plus en plus de paraboles, et ce n'est pas toujours très esthétique, mais chacun fait comme il peut, bien heureux d'avoir un bout de balcon pour l'accrocher si le toit est inaccessible.
Mais voilà qu'arrive une belle innovation à Banyuls : la parabole transparente ! Bravo et "chapeau", c'est bien d'y avoir pensé. Et surtout d'avoir mis des fleurs derrière !
Message de Francis Sureda
L’Association CULTURE et PATRIMOINE en CÔTE VERMEILLE
Les Patronymes Catalans en Côte Vermeille
Leur origine et leur signification
Hall de la Mairie de BANYULS sur MER
Mercredi soir, 23 h : tempête d'Est, la mer gronde, il y a des entrées maritimes et du brouillard avec une humidité très forte. En fin d'après midi les goëlands nous on fait un ramdam pas possible !
Pour ceux qui ne se déplacent pas ou peu, ou qui sont loin de Banyuls, quoi de neuf aux Elmes ?
Vous ne voyez rien, normal, mais je vais vous montrer : on nous fait un rond point ! Alors attention en arrivant de nuit et fatigué, dans le virage qui permet d'aller aux Roches Blanches ou vers la gare, il faudra ralentir !
Chers lecteurs du blog, voici un message que je viens de recevoir. Questionnez vos méninges et vos voisins, il faut arriver à répondre à notre ami !
Graffion Henri
Bonjour
Je suis à la recherche d'un peintre des années 50 qui se nomme Joseph TIXADOR , il a peint un tableau de Port Vendres qui orne le Hall de la gare de cette ville, je vous envoie ce message car Tixador dans l'equipe de rugby de 1955..
Joseph Tixador était cheminot dans la ligne Cerbère-Perpignan et toutes mes recherches ont échoué..
Je voudrais le retrouver lui ou un de ses descendants car j'admire ses tableaux ,c'est un peintre inconnu et les thèmes de ses peintures , le travail de la vigne et les paysages entre Argelès et Banyuls me tiennent à coeur, ma famille maternelle est de Port-Vendres ,si vous avez des infos pouvez vous me les communiquer s'il vous plait.
Merci
Voici le commentaire de Jean-Pierre Campadieu pour Henri, en réponse à sa question :
Le Tixador ou Tixedor de l'équipe des juniors de l'U.S.C.V Port-Vendres (pilier) habite dans les Albères, avait une société de transport en ambulances, fait partie du Rotary Côte Vermeille et est président des anciens du rugby Côte Vermeille.
Je n'ai jamais entendu dire qu'il était artiste peintre.
Dimanche 13 juin : orageux !
Lundi 14 juin, restez chez vous et retardez vos vacances : il pleut avec de la tramontane faible et il fait presque froid !
Imposssible de regarder le foot, ça nous casse les oreilles et ça énerve, même que si ça continue ça fera "tourner" le pastis !
Une belle exposition de Colette, amoureuse de Banyuls !
Le menu de demain offert par la vinaigrerie La Guinelle :
Ce dimanche fête des pères il y a une violente tramontane et ceux qui connaissent les coins savent que c'est là qu'il faut venir !
Des expositions importantes se préparent et pour les petits aussi, une grande fête qu'ils attendent avec impatience.
Lundi, encore de la tramontane mais moins violente. Des écoles de jeunes enfants explorent les fonds marins sous les arcades, bien encadrés par des moniteurs. Leurs éclats de rire et leurs cris de joie se mêlent aux bourrasques de vent et rajeunissent le paysage.
Allez, venez vite, voici les festivités de la fin juin.
Mardi, on comble avec des galets et du gravillon puisés dans la baie l'espace où la rivière se jette dans la mer pour gagner de la surface de plage.
Et loin de tout celà, impassible et sereine, la nature suit son cours. Les abricots de vigne sont délicieux !
Voilà du nouveau d'hier
Feu d'artifice de la Saint Jean : une épée ? une croix ?
Vite, il ne reste pas beaucoup de temps, allez voir les merveilles d'Isabelle qui expose à la Mairie salle du Conseil !
Son inspiration verticale lui permet de nous offrir une élévation au delà du spirituel et les textes accompagnant les oeuvres sont les piliers de son Temple.
Une bonne nouvelle en ce mois de juin, les petits goélands sont sortis du nid rocheux où leurs parents les gardaient bien au chaud. Hélas, les voilà obligés de voler de leurs propres ailes et les "grands" leur font des tas de misères. Ils les poursuivent, les chassent du groupe, les obligent à devenir des adultes. Ils sont faciles à reconnaître : alors que les adultes ont des plumes blanches sur le corps et les ailes grises à extrémité noire, les petits sont maladroits, sont tout gris, sont malheureux et viennent se cacher sur le sol quand ils n'en peuvent plus. Ils marchent comme s'ils avaient des clous dans les souliers !
Ce matin un d'entre eux est venu se cacher près de chez moi, le voici. Mais ne craignez rien, dans quelques mois il fera la loi à son tour !
Voilà l'été arrivé : chaleur, couleurs, odeurs...et pour le moment le sauveteur de loin et de dos pour vous éviter, mesdames, le choc brutal de la beauté !
Pour terminer le mois de juin, voici le programme des festivités jusqu'au 15 juillet. C'est tout frais, ça sort de l'Office du Tourisme ce matin.
Allez, il ne manque que vous et les rames ! Mais attention, il faudra montrer un certificat médical avant d'être autorisé (e) à pratiquer la compétition.
Oriünd = "natif de" en quelque sorte "indigène de Catalunya"
Merccredi 30 juin : 34° à l'ombre !!!!! Un cagnard de nfeu !
Les olives se développent peu à peu pour l'hiver.
Des images A. Brugué.
Fête du Puig del Mas
On y reconnait de dos, si je ne me trompe, le regretté Michel Pastoret fana de sardanes, et excellent footballeur du PFC qui était en deuxième division.
Un commentaire vient d'être posté par Thérèse Vlarem le 22 juillet 2010
photo n°4 : sur la droite, Les 3 frères Vilarem.( Raphael, François et Pierre)
En" costume" : François Vilarem
A une certaine époque de l'année il fallait monter à la montagne, à la Massane, où il y avait des troupeaux de vaches qui vivaient librement. Les hommes partaient de Banyuls pour attraper les jeunes veaux et leur mettre un collier avec une cloche afin de mieux les retrouver plus tard. Les images suivantes le montrent bien.
Ces troupeaux sauvages existent toujours et lors des sècheresses les bêtes descendent vers les villages et broutent les feuilles de vigne et les jeunes raisins. Il faut parfois les abattre quand on ne peut plus les contrôler. Mais comme ils se déplacent ils sont tantôt sur le territoire de Banyuls, tantôt de Port-Vendres, ou de Collioure...ce qui fait qu'on ne sait jamais quelle commune doit intervenir et qu'on essaie de les chasser chez l'autre ! C'est de bonne guerre, on ne se achera pas pour ça ! In fine ce sont les services vétérinaires qui ont le dernier mot quand il faut tirer, et surtout examiner les carcasses puisque ces animaux sont forcément suspects car non suivis depuis leur naissance.
Les bètes appartenaient à Raphael Vilarem. C'est lui qui est de dos en train de placer le poser le collier à la vache.
Lisez le commentaite de Jean-Pierre Campadieu :
Bravo pour ce reportage (très rare) sur l'activité pastorale de l'Albère maritime. C'est certainement Torreneules que l'on voit ici, la façade du bâtiment ne correspond pas aux barraques des Couloumates.
Actuellement les Banyulencs ont laissé la place aux Colliourencs pour la gestion du cheptel bovin de la Massane et "l'esquellada"
/fdata%2F3395432%2Favatar-blog-1127072238-tmpphpp74oQu.jpg){kind=avatar}
